Andraste
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-40%
Le deal à ne pas rater :
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 pièces (induction, ...
59.99 € 99.99 €
Voir le deal

Dimitri Atory

MessageAuteur
MessageSujet: Dimitri Atory Dimitri Atory Icon_minitimeMer 14 Avr - 10:59

Dossier de Dimitri Atory
IDENTITY CARD

Dimitri Atory Avadrewf4
    ›› NOM : Atory
    ›› PRENOM(S) : Dimitri

    ›› METIER : Président Directeur Général d'Atory Corporation. Médecin et Biochimiste de renom.

    ›› AGE : 26 ans
    ›› DATE DE NAISSANCE : 17 Juin 3008
    ›› LIEU DE NAISSANCE : Versailles

    ›› RACE : Terrien

    ›› AFFILIATIONS ET LIENS NOTABLES :
    ___× Parents : Michael Atory ~ Père [Décédé] & Valentine Atory ~ Mère [Décédée]
    ___× Fratrie : Inconnue.
    ___× Autres : Charles Lenôtre ~ Bras droit chargé des ventes illicites des diverses drogues.
Histoire
TELL ME IN WHAT WAY YOU COME HERE

Spoiler:

"On dit que l'Amour est surement la plus belle création de l'Homme, le plus beau privilège qui lui soit accordé mais, dès qu'il commet l'erreur de se mêler à l'autre, s'en est finit : Il comprend que plus rien ne sera jamais comme avant, et plus pour le pire que pour le meilleur. C'est dans ce climat en tout bien tout honneur que je posai les premières pierres de mon enfance. Au final, les cris de ma mère n'avait rien de trop agaçant, on finissait même par s'y faire à la longue. Enfin, peut-être mon père était-il un peu trop violent quand il la frappait... Mais à moi il ne m'a jamais rien fait donc ce qui arrivait à ma mère ne me concernait pas."
Ça fait peur, non ? Qui est le dingue assis derrière son écran pour écrire un journal de bord pareil ? Et bien moi ! Né d'une famille aisée, ou plutôt d'une communauté aisée car le terme de "famille" n'avait pas vraiment de sens chez nous. Mes parents ne connaissaient pas le couvre-feu, pour la simple et bonne raison qu'ils tuaient leur vie au travail, dans la gestion de la puissante firme familiale. Et tout n'était que prétexte pour quitter notre appartement. Je les voyais peu, et quand ils étaient là, l'un comme l'autre s'évertuait à s'époumoner pour qu'O fortuna me paraisse la plus douce des berceuse composée. Si ce n'est que cela, j'avais quelques amis à l'école, rien d'exceptionnel et je m'intégrais plutôt bien. Avec un niveau peut-être légèrement au-deçà de la moyenne, au point que personnellement, je ne croyais pas être propulsé dans les écoles élitistes... Enfin, avant.

Aux alentours de douze ans, dans les débuts de l'adolescence pour être plus explicite, je m'isolais un peu plus et ma fascination pour la souffrance débuta alors. Non, je n'étais pas mazochiste mais étrangement, je vivais une nouvelle émotion, une émotion que je ne pouvais décrire que comme de la cohésion, comme une multitude de points de bonheur, de jouissance, de plaisirs dans l'arrière de mon crâne. Aux moments même où j'assistais, à proprement parler, à une scène de souffrance, je ressentais tout cette pluie agréable et joyeuse... De même que mon père. On me diagnostiqua à mon tour un syndrome d'Eihneler.. Un syndrome rare que quelques mâles uniques de notre familles pouvait avoir. En soi, c'était du à une incohérence génétique dans notre séquence d'ADN, sur le chromosome Y, de telle manière que nous avions tous acquis une hypermnésie sélective face à tout ce qui était susceptible de prodiguer la souffrance. Étrange, hein ? Les séquences d'ARN généraient chez nous une protéine propre à ce que nous étions, laquelle sur-développait certaines sections de l'encéphale... A mon plus grand plaisir. J'étais capable, pour ma part et seule de mon coin, de prendre du plaisir à assister aux moments les plus infâmes de la vie, à la seule condition qu'ils ne me touchaient pas. Et au travers même de cela, car codés comme avec un puissant attrait émotionnel, je pouvais me remémorer facilement ces moments. A la longue, on parlait même d'hypermnésie sélective, et mes centres d'intérêt assez banaux pour l'époque se tournèrent soudainement vers la biochimie. Je me plaisais à comprendre le fonctionnement des molécules sur notre corps et souvent, je rêvais de pouvoir franchir un jour le pas, pouvoir concevoir mes propres molécules... Pouvoir ainsi développer mes propres réaction sur le corps humain... Ca paraissait beau et un soir, je franchis le cap.

En cours, j'avais discuté de mes pulsions émotionnelles avec Charles et celui-ci s'était montré d'un grand intérêt vis-à-vis de cela. Et toute la journée, je n'avais pas cessé, encore, un peu, toujours, au détriment des cours, de comment pouvoir mieux expliquer ce que j'éprouvais, quelle merveille cela pouvait être. Le soir, je me plongeais dans les cours paternels numérisés de médecine pour comprendre un peu mieux l'essence même de cette fascination qui en un sens, avait pris les tournures d'une drogue, au seul titre que je ne pouvais me résoudre à vivre une journée sans lire un témoignage d'Hiroshima, ou encore me délecter d'un bon film tridimensionnel illustrant une scène particulièrement insoutenable mais joyeuse au fond. Oui, j'étais drogué... Cependant, je n'avais pas fais mes recherches comme il le fallu et je m'étais d'abord acharné sur les nocicepteur. A croire qu'être intéressé m'avait boosté, je me sentais capable de réciter mot à mot tout ce que j'avais pu lire, comme désormais gravé dans ma mémoire très sélective. Dès lors, je m'employais à des recherches plus orientées vers l'addiction et c'est à ce moment précis que j'en eus l'idée : Créer l'équivalent d'un neurotransmetteur qui pourrait faire sentir à Charles l'émotion. Mieux qu'un discours, il le vivrait et je ne pensais pas alors que pour une seule fois, il éprouverait de la dépendance. J'affinais mon étude sur les sections du cerveau, les neurotransmetteur en question pour qu'au final les murs de ma chambre puissent ressembler à de véritables tableaux sur lesquels s'étaient gravés des fromules moléculaire. Mais enfin, à mesure que je détériorais ma pièce personnelle, je me représentais le parcours de cette molécule, son action sur les cellules , ce qu'elle allait provoquer chez mon camarade. Et finalement, une semaine plus tard, j'arrivais à concevoir d'un point de vue théorique ce qui devait, je pensais, provoquer cette simple émotion. Après il me fallait pouvoir concevoir la dite molécule et là, faire de gigantesques recherches pour éviter la quantité d'isomères. Une semaine de plus et c'était bon, enfin, je l'avais face à moi.

Dans son petit erlenmeyer, une substance verdâtre, mon mélange, le résultat d'heures de travail acharnées. J'aurais vraiment aimé l'essayer moi même, pouvoir comprendre si j'y étais parvenu mais... Si tout cela échouait ? Si le produit en lui même était d'une nocivité extrême ? Létal ?... Rien ne servait d'en prendre les frais et ce seul individu que je fréquentais pouvait être mon plus gros cobail. Je transvasai le liquide pour en discuter avec lui et, dans une naïveté exemplaire, il acceptais une injection... En même temps, je n'avais pas été très honnête avec lui mais qu'importait : moi de toute façon, je savais que je ne me risquerais pas à en prendre tant que lui ne l'aurait pas fait, et m'importaient peu les mensonges sur le fait que je puisse l'avoir expérimenté avant... On se retrouvait après les cours, malgré l'Everest de devoirs qu'on avait à faire pour le lendemain. Et avec une seringue que j'avais discrètement dérobé à mon père, je désinfectai sa peau avant injection. Et je le regardai, avec l'undes plus grands intérêts que jamais je ne vivrais.

Mentalement, je pouvais suivre le tracer du composé, passant dans son sang, avant de monter jusqu'à l'encéphale, de là, il se grefferait à certains neurones de son lobe occipital, permettant ainsi la somme des sensations. Enfin, le trajet aurait été le suivant s'il ne m'avait pas été plus intéressant de le faire vivre comme moi. A défaut de pouvoir modifier en profondeur toute sa biochimie cérébrale, le transmetteur partirait de son sang, pour se loger directement dans le système limbique, son "cerveau des émotions", celui qui devait générer un "circuit de la récompense". En réalité, j'avais appris que chez nous, les terriens, on trouvait toute une zone dédiée aux besoin profonds à savoir celui de se nourrir, réagir à une agression ou encore se reproduire. En récompense à une de ces actions, le cerveau produit ainsi un neurotransmetteur du plaisir, appelé dopamine. C'était justement suivant les quantités libérées qu'un individu pouvait se sentir bien. Dès lors, je passais par là. Son cerveau déclencherait ainsi une libération importante de cette substance, en parallèle avec cette petite touche de bien être... Tout en déréglant sa notion fondamentale du plaisir. Et dans mon fort intérieur, je me doutais que la combinaison pourrait faire naitre toute la dépendance.

Quelques secondes puis il me sourit, à son tour soumis par la même magie qui m'animait. Et dans la simple pensée de sa sensation de manque, d'une quantité trop faible de dopamine, mes propres régions s'activèrent pour me donner du plaisir, à mon tour. A dix-sept ans à peine, j'y étais parvenu, j'avais conçu ma propre molécule du bienêtre... Même si tout cela n'était que le prototype de la drogue qui ferait ma puissance dans l'avenir. A défaut d'avoir rendu accroc mon camarade un certains temps, je m'apercevais que le sevrage (temps nécessaire à ce que je puisse refaire ledit produit), n'était non seulement pas assez long mais surtout pas assez douloureux. C'est pourquoi, une fois mes devoirs finis, je peignais de nouveau les murs de ma salle privée avec tous ces croquis du cerveau pour comprendre ce qui manquait à mon monstre. Et enfin, il en résultait que la dopamine sécrétée n'était pas suffisamment libérée. Dès lors, je complexifiais ma molécule pour que les réserves ne s'épuisent brutalement, que le sujet reçoive une importante dose de plaisir au détriment des souffrances à venir, par la suite. Le pire dans l'histoire, c'est que j'étais fier de moi, alors que j'étais trop stupide pour en faire un véritable commerce, obtenir une rente convenable sur ce produit.

Un jour, un groupe d'individu de notre âge nous avait surpris dans les injections quotidienne de Charles. Et ceux-là nous regardaient, plus intrigués qu'effrayés. Mon camarade - sous un temps d'effet prolongé à présent - s'approcha d'eux et leur proposa à leur tour d'essayer. En soi, j'avais la sensation d'altérer son jugement, qu'il puisse véritablement croire pouvoir offrir du plaisir aux autres. Et on leur donnait gratuitement les premières doses. Dépendants à leur tour, ils revinrent le lendemain, m'exigeant, réclamant de nouveau cette petite immonde piqûre. On la faisait ce jour-ci, expliquant clairement que la production d'un tel produit coûtait cher. C'est pourquoi une petite participation financière allait être exigée à l'avenir : Enfin je me rattrapais. Et les bases de notre réseau se construisaient peu à peu. A l'approche des grands examens annuels, je me souvenais de toute une zone du lobe temporal gauche qui gérait la mémoire, et j'imaginais une substance susceptible d'aider à mieux s'en sortir dans cette période. Activation abusive de la neurodrénaline, de la sérotonine jusqu'à épuisement des stocks. Ainsi, un accès à la mémoire plus aisée, plus performant cumulé à une capacité de réflexion plus rapide. De plus, je poussais ma réalisation jusqu'à un point critique. J'imaginais vider les stocks à un stade alarmant pour l'individu puis sécréter une autre substance capable de catalyser la production pour adoucir le manque. Avec un peu de recul sur les premiers essais, je jugeais avoir commis une erreur. Il fallait la dépendance, elle était le cœur même de mes rentrées d'argent à présent. Et finalement, je me mettais à penser en un produit plus réfléchi. Deux molécules cumulées en une seule, laquelle se divisait au contact de l'hémoglobine. L'une activerait donc ce moteur formidable de la mémoire, l'autre se chargerait d'augmenter les quantités épuisées de ces neurotransmetteurs... Sous un isomère différent. Ainsi, ils ne seraient pas libérés, juste stockés pour que lors d'une nouvelle injection, le sujet ne ressente que plus d'aisance. Boucle infernale dans la mesure où les poches qui contenaient les neurotransmetteurs se faisaient remplies et que le sujet ne parvenait pas à recréer des stocks de façon naturelle, par manque de place.

On approchait de la semaine fatidique, et j'avais déjà trois injections de prêtes. J'en discutais avec Charles, sur la possibilité de répandre ce que j'appelais désormais haut et fort "une drogue" aux autres. Le seul soucis, ici par contre, venait de la difficulté à cacher la prise. Il fallait donc préconiser de petites doses lorsque l'on dealait... Mais bon, il n'empêche qu'on ne restait pas responsable de ce qui pouvait advenir. Après tout, on expliquait clairement qu'il ne le fallait pas, chacun devait prendre ses responsabilités. Et dans le semaine, il y eut bien sûr ce Kevin (à croire que ce nom puisse vraiment y être pour quelque chose), lequel se piqua avec une dose trop forte et nos pions, alors pas si dupes que ça, constatèrent qu'il n'était pas "dans son état normal". Il y eut enquête puis bien sûr, on m'interpela, car quelques uns n'avait su tenir leur langue. Au poste, je ne disais rien et mon père arriva avec quelques uns de nos singes de gros bras. Je sortais sans soucis, lui se passant de toute morale inutile. Pour ma mère s'en fut tout autre et pour la première fois depuis plus de douze ans maintenant, un de mes parents rentrait dans ma chambre, assistant à mes dessins frénétiques sur les murs. Elle aurait aimé me dire quelque chose mais à ce moment précis, mon père l'invita à le rejoindre en bas.
Ses cris se firent une berceuse exquise.

Et je me doutais de devoir ralentir légèrement mes deals même si, implicitement, mon père m'avait laissé carte blanche dans son investissement, et je me doutais à présent de pouvoir établir une véritable fortune sur un produit pareil ou la combinaison des deux. J'ignorais si mon géniteur était intervenu ou non au près de l'établissement, s'il avait fait un don pour que l'on puisse me garder. Ce que je retenais, c'était d'être le surlendemain aux côté de Charles, à discuter d'un éventuel business à se faire. Ni l'un ni l'autre ne manquait d'argent et pourtant, ça nous plaisait d'en gagner de la sorte. Il nous suffisait de rendre dépendant quelques dealers, lesquels pouvaient ainsi revendre du produit et le propager. Ça tenait bien sur Terre, et ça ne s'était pas répandu ailleurs jusqu'ici. Moi dans mes études de médecine, ayant sauté quelques classe par "la simplicité qu'imposait les cours"... Et mes rentes satisfaisaient à mon train de vie.

Jouissant du rang de mes parents, je partais au restaurant une à deux fois par semaine, me noyant dans un délice féérique pour qu'en parallèle, je puisse pratiquer trois sports de combat en simultané. Les études auraient du me priver, comme pour les autres camarades, d'un temps de libre équivalent. Alors qu'assister au cours suffisait aisément pour retenir, je ne révisais jamais le soir. Plutôt que cela, je me livrais aux rares entrainements de tir ou encore ceux de Kendo et de Laidō. Démodés, dépassés au quatrième siècle ?... Oui mais qu'importait, on comptait encore une petite poignée d'irréductibles à pratiquer "ces sports" que je considérais plus comme des détentes, et le tir dans un but plus pratique. Inconsciemment... Non. Je préparais honnêtement la hiérarchie de toute une organisation sur le trafique de stupéfiants, avec moi à sa tête. Finalement, environ une semaine après que je sorte de l'école de Médecine, spécialisé, toubib tout heureux qui venait de s'intégrer à merveille dans la société familiale, avec des ambitions pour la reprendre, lesquelles n'échappaient à personne de censée. Isolé pour mon entrainement quotidien, j'avais coupé mon portable pour qu'une fois rallumé, treize messages, chacun m'invitant à me rendre d'urgence sur Andraste.

Au final, j'apprenais que mes parents, bien que séparés comme toujours dans deux navettes différentes, venaient de mourir à la suite d'une série d'attentats, tous orchestrés par de supposés terroristes. Et j'accueillais la nouvelle avec un grand sourire, conscient de devenir, à ce jour, Président Directeur Général d'Atory Corporation.

Au début je pensais que ce serait vraiment fantastique... Et ça l'était un certain temps en effet. Puis enfin, il y eut cet évènement qui marqua un véritable tournant dans ma vie, je ne me souviendrais plus de l'heure qui l'était, aux alentours de trois heure trente-sept de l'après midi, dans ces eaux là et on venait de partir d'Andraste. Direction ? La Terre, avec plusieurs type de la milice et, comme dans tous ces films catastrophes, un seul médecin à bord... Moi.

"Dans ces moments précis, le lecteur fruste à l'idée qu'un psychopathe à la dangerosité avérée puisse être le seul à soigner quelqu'un car, malgré sa grande naïveté sur la capacité de l'auteur à se montrer presque sain d'esprit, il a évidemment comprit qu'une catastrophe sanitaire se produira dans les paragraphes à venir..."

Ce petit transport qui transportait facilement cinq cent passagers et de tous, il avait fallu que je sois le seul à pouvoir opérer avec un équipement devant facilement archaïque datant du premier millénaire... Tout ça pour un pauvre petit garçon dont les implants cybernétiques s'étaient déplacés. Étrangement, j'avais ressenti mon habituelle émotion de jouissance à la vue de sa souffrance. Mais, le fait de l'avoir sauvé, ça, c'était différent, et tout aussi plaisant...

Signalement Physique
IDENTIKIT PICTURE
Quand on me croise dans la rue, j'aurais presque l'air normal, propre sur moi, souvent muni d'un attaché-case. Allure droite, un peu trop sûr de moi, un regard azur, un nez fin, des joues fermes. En soi, l'apparence compte peu pour l'individu, on me considère grand, avec une tête relativement agréable au regard sans pour autant se retourner dans les rues. Passe partout donc, avec une aura qui ne semble pas malfaisante, des cheveux bruns qui ne semblent pas machiavéliques. En fin de compte, scruter le plus profond, le plus noir de ces yeux et vous y trouverez sans doute un petit éclair de folie. Oui, je cache plutôt bien mon jeu.

___× Casier Judiciaire: Vierge
___× Poids : 82 Kg
___× Taille : 1m87
___× Autres signes particuliers : légères veines apparentes sur ses bras, hétérochromie jaune.

Dossier Psychologique
PSYCHOANALYSIS
...


Domaines de Compétences
WHAT CAN YOU DO ?
  • Médecin expérimenté [Etudes ~ Prédispositions génétiques]
  • Biochimiste de renom [Etudes ~ Prédispositions génétiques]
  • Aptitude au tir [Entrainement Sportif]
  • Sang froid exacerbé [Entrainement Sportif]
  • Concentration accrue [Entrainement Sportif]
  • Malgré l'ère technologique et numérique, les connaissances de cet individu sont très restreintes en informatique [Inné x)]
  • Inaptitude profonde à la compassion. [Inné]
  • Piètre comédien[Inné]
  • Inaptitude profonde au combat à mains nues[Inné]
  • Incapacité modérée à rester discret
  • Bon orateur [AC]



Codes
PASSWORDS



D'où venez-vous ?
Terrien du système solaire conduit ici par le hasard des topsites.
___× Célébrité choisie : Drew Fuller
avatar
Dimitri
    Invité




Dimitri Atory Vide
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Dimitri Atory Dimitri Atory Icon_minitimeSam 15 Mai - 11:22

Bonjour,
La fiche est-elle toujours d'actualité ?
0ptical . Audit0я
0ptical . Audit0я
    Challenge everything.



─ Messages : 189


Identity Card
─ Profession : Hacker
─ Inventaire :
─ Santé :
Dimitri Atory Bar_left5/5Dimitri Atory Bar_empty  (5/5)

Dimitri Atory Vide
Revenir en haut Aller en bas

Dimitri Atory

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Andraste :: 1.1 : Ordinateur Central :: { Disques durs :: ▪ Dossiers Archivés-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit