Cœur d'Andraste → On y trouve tout. Ce n'est pas plus compliqué que cela. Outre les boutiques, les cafés et les bars, le centre ville regroupe la plupart des services administratifs. La Milice y possède son siège, non loin de la pyramide de la Grand Cour, sur la Place Kelsey. A cela s'ajoute le Centre Scolaire Général, situé plus à l'écart.

Quartier frénétique → Comme tous les quartiers de la cité, le nord d'Andraste est sans cesse pris d'une frénésie digne des grandes métropoles terriennes. Les sorties du Tube régurgitent sans interruption une foule qui se presse vers l'important centre sportif pour profiter de quelques heures de sport accordées par leur statut ou vers le centre commercial pour ceux qui peuvent se permettre de dépenser à tout va leurs crédits. Et au milieu des grattes-ciels résidentiels, se dresse l'hôpital d'Andraste non moins agité que le reste du quartier.

Quartier animé → Outre le campus universitaire, le quartier avec ses hauts buildings reste principalement résidentiel. Les appartements n'y sont pas très spacieux mais le coin est animé, les bars et pubs pas trop chers et sympas. Et surtout, le marché hebdomadaire permet de trouver quelques petites choses très sympas. Toutes sortes de choses très sympas. Et très... illégales aussi.

Quartier à la mode → Le quartier à la mode par excellence. Le plus touristique également grâce au magnifique Parc Esha, aux nombreux galeries d'art et prestigieux musées. Et ajoutez y les restaurants branchés, les boutiques huppées et les boîtes de nuit réservées aux classes α, β et γ : si vous ne trouvez rien pour vous occuper, c'est que, vraiment, vous le faîtes exprès.

Quartier des affaires → Dans ces immenses buildings et leurs centaines d'étages se jouent les affaires d'Ixchel et du reste de l'univers. La bourse d'Andraste, toujours fourmillante de traders et de courtiers, côtoie banques, sièges sociaux d'entreprises, cabinets d'avocats, laboratoires renommés... et prêteurs sur gage. L'argent n'a pas d'odeur.

Boyaux d'Andraste → Outre les couloirs aseptisés du Tube, ils s'étendent sous toute la cité et plus encore, en un labyrinthe de boyaux de béton. Nauséabonds, pas franchement ragoûtants et faiblement éclairés par des lampes arrivées en fin de vie, ils font néanmoins une excellente cachette et permettent les réunions clandestines pour peu qu'on connaisse les dépôts désaffectés qui jalonnent certains couloirs.